Beaucoup de choses apparaissent dans notre vie à chaque instant, où plus exactement des détails, des choses que l'on ne pouvait pas encore voir, pas comprendre. Comme tous les autres, tu es né. Tu as découvert la nature, les oiseaux, les couleurs. Tu avais l'amour de tes parents et le savoir qu'ils te donnaient peu à peu. Puis tu as grandi, tu as vu la face caché de l'être humain : son attirance infinie pour l'argent, les belles choses, le fait de toujours être mieux que tout le monde, sinon, on n'est rien. Mais je crois que ce qui t'as le plus marqué c'est son égoïsme. Tu n'as pas tout à fait tort d'un autre côté…Ensuite, tu es mort, et là encore tu as appris une toute dernière chose. L'homme n'est pas si égoïste qu'il en a l'air car en mourant, il donne sa place à quelqu'un d'autre en espérant que celui-ci arrivera à tout changer…
Megan Laurent
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Balthus – La Phalène – 1959-1960
Un bébé se trouvait derrière un pont de soie ondulée où il aperçut des animaux.
Il leur parla : « Bonjour, je vous vois enfin vous … l’âne, la dinde et l’éléphant qui venez de la jungle de cire ».
Ils répondirent : «… et nous, nous te voyons toi en personne, le Girondin avec ce mental de fer qui brille comme la flamme de ce feu ».
Sébastien Thirion
Il leur parla : « Bonjour, je vous vois enfin vous … l’âne, la dinde et l’éléphant qui venez de la jungle de cire ».
Ils répondirent : «… et nous, nous te voyons toi en personne, le Girondin avec ce mental de fer qui brille comme la flamme de ce feu ».
Sébastien Thirion
Matisse – Polynésie, la mer – 1946
Je croyais rêver, une sorte d’illumination
Tu étais là, à te balancer au milieu des poissons
Une algue marine déambulait à tes côtés
Faisant la maligne, essayant de te détrôner
Tout allait très vite car en un scintillement
Comme dans une sorte d’émerveillement
Je t’ai vue te transformer avec cette élégance
Propre à ces animaux qui peuplent les fonds marins
Personne d’autre n’a eu cette chance
Il n’y avait que moi, ça c’est certain
Entre un songe et la réalité,
Comment distinguer le mensonge de la vérité ?
Nora Nélis
Tu étais là, à te balancer au milieu des poissons
Une algue marine déambulait à tes côtés
Faisant la maligne, essayant de te détrôner
Tout allait très vite car en un scintillement
Comme dans une sorte d’émerveillement
Je t’ai vue te transformer avec cette élégance
Propre à ces animaux qui peuplent les fonds marins
Personne d’autre n’a eu cette chance
Il n’y avait que moi, ça c’est certain
Entre un songe et la réalité,
Comment distinguer le mensonge de la vérité ?
Nora Nélis
Jean le Moal – Au centre des Andes – 1978-1980.
J’avais déjà rêvé d’une vie paisible.
Sans aucun nuage ni orage.
Ce soir, mon rêve a changé, il s’est transformé.
Je l’ai vu moi-même !
Tout d’abord, les fleurs et la liberté ressentie se sont envolées.
Ensuite, un tourbillon, non de lumière,
Mais de poussière m’a emportée.
Je n’arrivais pas à en apercevoir la fin.
Juste une lueur blanche m’invitant à oublier
Ce à quoi j’étais destinée.
Ce furent mes dernières pensées.
Romance Body.
Sans aucun nuage ni orage.
Ce soir, mon rêve a changé, il s’est transformé.
Je l’ai vu moi-même !
Tout d’abord, les fleurs et la liberté ressentie se sont envolées.
Ensuite, un tourbillon, non de lumière,
Mais de poussière m’a emportée.
Je n’arrivais pas à en apercevoir la fin.
Juste une lueur blanche m’invitant à oublier
Ce à quoi j’étais destinée.
Ce furent mes dernières pensées.
Romance Body.
Jean le Moal – Hommage à Chardin – 1965-1973.
Mes grands-parents devaient venir pour mon 15ème anniversaire. Il était 13 heures, ils avaient déjà une heure de retard, je commençais vraiment à m’impatienter, je ne faisais plus que tourner en rond. Heureusement, ils m’apportaient des cadeaux et il y avait également ce super dîner que maman nous avait préparé. Enfin ils arrivèrent et la journée se passa parfaitement.
Aujourd’hui, j’ai 60 ans, c’est le 15ème anniversaire de mon petit-fils. Malheureusement, c’est à mon tour d’être en retard. Je m’en veux car je sais ce que cela fait d’attendre bêtement la famille pour son anniversaire. En entrant, il me salue, je m’excuse et il me répond que ça arrive d’être en retard. Ses mots m’ont rassuré, la soirée s’annonce parfaite !
Maxence Léonard
Aujourd’hui, j’ai 60 ans, c’est le 15ème anniversaire de mon petit-fils. Malheureusement, c’est à mon tour d’être en retard. Je m’en veux car je sais ce que cela fait d’attendre bêtement la famille pour son anniversaire. En entrant, il me salue, je m’excuse et il me répond que ça arrive d’être en retard. Ses mots m’ont rassuré, la soirée s’annonce parfaite !
Maxence Léonard
Kupka – Compliment – 1912
Mon chéri,
Je t’écris car je ne veux plus continuer. Tu es un flatteur, tu aimes faire plaisir, tu me l’as dit. Mais cette phrase est un leurre et toi, un menteur. Je vois les regards de tes collègues lorsqu’elles me voient. Tu es un séducteur né, voilà la vérité. Tout le temps. Quand tu es dans la cuisine et que tu utilises le mixeur, quand tu accroches ta veste au portemanteau ou bien lorsque tu as le soleil dans ton dos…. En fait, tu es un soleil. Mais je me suis approchée trop près de tes couleurs vives qui maintenant ternissent ma vie.
Pardonne-moi, mais je dois me protéger.
Fanny Posset.
Je t’écris car je ne veux plus continuer. Tu es un flatteur, tu aimes faire plaisir, tu me l’as dit. Mais cette phrase est un leurre et toi, un menteur. Je vois les regards de tes collègues lorsqu’elles me voient. Tu es un séducteur né, voilà la vérité. Tout le temps. Quand tu es dans la cuisine et que tu utilises le mixeur, quand tu accroches ta veste au portemanteau ou bien lorsque tu as le soleil dans ton dos…. En fait, tu es un soleil. Mais je me suis approchée trop près de tes couleurs vives qui maintenant ternissent ma vie.
Pardonne-moi, mais je dois me protéger.
Fanny Posset.
Robert Delaunay - Manège de Cochons - 1922
1er mai 1900, dans l’île perdue à 12H00
Premier jour, j’arrive dans ce lieu mystérieux avec un hélicoptère et je m’y pose.
J’ai peur et je suis seule. Aucun être vivant. Mais je ne dois plus avoir peur, je dois m’aventurer car j’ai faim, très faim. Je marche dans une allée avec des buissons multicolores. Je trouve cela bizarre. Je touche donc ces buissons. Ils ont une texture gluante. Je me dis que cela doit être normal dans l’île. A la fin de mon parcours, un lac rouge apparaît à mes yeux. Je goûte donc, et je savoure. C’est drôlement bon ! Est-ce de la grenadine ? Peut-être que oui, je n’ai pas cherché à comprendre car maintenant je dois me coucher.
Deuxième jour, j’ai une seule préoccupation qui est celle de manger. Je n’ai pas mangé depuis deux jours. Je vais donc continuer mon aventure. Je marche en regardant autour de moi. A ce moment, j’ai une vue magnifique sur le ciel bleu avec un arc-en-ciel. Que c’est beau ! J’admire encore et encore, en reculant pour mieux voir tout le ciel. Quand, tout à coup, je tombe dans un trou immense. Je m’y engouffre, j’ai l’impression de perdre pied. De plus, le vent souffle. Mon chapeau préféré s’envole. Des larmes coulent sur mes joues et là, c’est la première fois que je pleure…
C’est fini, je n’aurai plus de vie à présent ! Puis doucement, un cheval arrive me libérer et me rapporte mon chapeau. Je crois rêver. Je me réveille, ma vie n’est pas fichue.
Jessie LAMBERT
Premier jour, j’arrive dans ce lieu mystérieux avec un hélicoptère et je m’y pose.
J’ai peur et je suis seule. Aucun être vivant. Mais je ne dois plus avoir peur, je dois m’aventurer car j’ai faim, très faim. Je marche dans une allée avec des buissons multicolores. Je trouve cela bizarre. Je touche donc ces buissons. Ils ont une texture gluante. Je me dis que cela doit être normal dans l’île. A la fin de mon parcours, un lac rouge apparaît à mes yeux. Je goûte donc, et je savoure. C’est drôlement bon ! Est-ce de la grenadine ? Peut-être que oui, je n’ai pas cherché à comprendre car maintenant je dois me coucher.
Deuxième jour, j’ai une seule préoccupation qui est celle de manger. Je n’ai pas mangé depuis deux jours. Je vais donc continuer mon aventure. Je marche en regardant autour de moi. A ce moment, j’ai une vue magnifique sur le ciel bleu avec un arc-en-ciel. Que c’est beau ! J’admire encore et encore, en reculant pour mieux voir tout le ciel. Quand, tout à coup, je tombe dans un trou immense. Je m’y engouffre, j’ai l’impression de perdre pied. De plus, le vent souffle. Mon chapeau préféré s’envole. Des larmes coulent sur mes joues et là, c’est la première fois que je pleure…
C’est fini, je n’aurai plus de vie à présent ! Puis doucement, un cheval arrive me libérer et me rapporte mon chapeau. Je crois rêver. Je me réveille, ma vie n’est pas fichue.
Jessie LAMBERT
Théo Blanc, Antoine Demilly - Ombre portée - vers 1935
Au-dessus de toi, c’est le ciel. C’est celui qui sème la neige à l’horizon en cette saison : c’est beau n’est-ce pas ? Toi tu en es un reflet. Un reflet de la beauté qu’est l’hiver, toi si frêle. Mais malgré le peu de vie, le peu de couleur et d’odeur que nous laisse découvrir l’hiver, le ciel lui ne te laissera jamais sombrer dans un tel carnage. À tous faux pas, à toutes mauvaises intentions il te grondera comme il sait si bien le faire, avec des orages simplement sonores qui résonneront dans ta tête. Ca c’est sa colère.
Nathalie Darmont.
Nathalie Darmont.
Frantisek Kupka – Autour d’un point – 1920/1930
Mon voilier s’est échoué non loin d’une île mystérieuse et paradisiaque au soleil éclatant. Entourée de palmiers, une plage de sable blanc baigne dans une mer aux couleurs turquoise. Quelle splendeur !
De suite, je me suis sentie en sécurité. Intriguée par cette île, je me suis enfoncée dans cette jungle inconnue où j’ai mangé une banane tombée sur le sol.
Soudainement, le temps a changé, le soleil scintillant est passé aux nuages gris, au vent violent puis à la tempête. Me sentant observée de partout, la peur m’a envahie. Je me suis mise à marcher, à courir de plus en plus vite au travers de cette brousse. J’étais essoufflée.
Au loin, j’ai aperçu le phare d’un navire. L’idée d’être libérée de cette angoisse me redonna espoir. De joie, je me suis mise à crier et à faire des signes, de grands signes.
Du haut de son mât, le capitaine a aperçu quelque chose, quelqu’un qui criait « à l’aide ». Il a amarré son navire non loin de l’île et, à la nage, je l’ai rejoint.
J’ai terminé mon périple à bord de ce bateau.
Jamais je n’oublierai cette aventure !
Charlyne Volont
De suite, je me suis sentie en sécurité. Intriguée par cette île, je me suis enfoncée dans cette jungle inconnue où j’ai mangé une banane tombée sur le sol.
Soudainement, le temps a changé, le soleil scintillant est passé aux nuages gris, au vent violent puis à la tempête. Me sentant observée de partout, la peur m’a envahie. Je me suis mise à marcher, à courir de plus en plus vite au travers de cette brousse. J’étais essoufflée.
Au loin, j’ai aperçu le phare d’un navire. L’idée d’être libérée de cette angoisse me redonna espoir. De joie, je me suis mise à crier et à faire des signes, de grands signes.
Du haut de son mât, le capitaine a aperçu quelque chose, quelqu’un qui criait « à l’aide ». Il a amarré son navire non loin de l’île et, à la nage, je l’ai rejoint.
J’ai terminé mon périple à bord de ce bateau.
Jamais je n’oublierai cette aventure !
Charlyne Volont
Vassily Kandinsky - tableau à la tache rouge - 1914
Lundi 12 mars 2020, sur une île inconnue.
Hier, mon bateau a sombré. Je me suis trouvée sur une plage avec du sable rouge. J’étais inquiète, je ne savais plus quoi faire. J’étais seule sur une île déserte. J’ai marché, encore et encore, j’avais l’impression d’être dans un labyrinthe coloré ! Mes pieds étaient lourds. Aujourd’hui, je cherche à manger dans la forêt où j’ai dormi. Je me sens seule, j’ai envie de parler à quelqu’un. Demain, j’essayerai de trouver un abri.
Mardi 13 mars 2020, toujours sur l’île.
J’ai trouvé un nouvel endroit génial ! Il y a une cascade en chocolat, sur les arbres poussent des bonbons et tout est mangeable! Je suis super contente et j’ai rencontré une nouvelle civilisation. Cette population m’a accueillie très chaleureusement.
Mercredi 21 mars 2020, sur l’île paradisiaque.
Malheureusement, les secours sont arrivés et je dois repartir. Je suis très émue. C’était une expérience fascinante ! J’ai promis de revenir les voir !
Oriane De Visch
Hier, mon bateau a sombré. Je me suis trouvée sur une plage avec du sable rouge. J’étais inquiète, je ne savais plus quoi faire. J’étais seule sur une île déserte. J’ai marché, encore et encore, j’avais l’impression d’être dans un labyrinthe coloré ! Mes pieds étaient lourds. Aujourd’hui, je cherche à manger dans la forêt où j’ai dormi. Je me sens seule, j’ai envie de parler à quelqu’un. Demain, j’essayerai de trouver un abri.
Mardi 13 mars 2020, toujours sur l’île.
J’ai trouvé un nouvel endroit génial ! Il y a une cascade en chocolat, sur les arbres poussent des bonbons et tout est mangeable! Je suis super contente et j’ai rencontré une nouvelle civilisation. Cette population m’a accueillie très chaleureusement.
Mercredi 21 mars 2020, sur l’île paradisiaque.
Malheureusement, les secours sont arrivés et je dois repartir. Je suis très émue. C’était une expérience fascinante ! J’ai promis de revenir les voir !
Oriane De Visch
Lucien Hervé - Haute cour - 1955
C’est le bâtiment de mon enfance, joyeuse, sans tracas, bref une enfance de rêve. Les vacances passaient toujours trop vite... Avec tous les voisins de palier que j’avais, il était impossible de s’ennuyer. Mon père avait installé une piscine et une balançoire sur le toit, car nous n’avions pas de jardin. Tous les jours après l’école, Marie, Jacques, Lucien et moi nous nous y retrouvions...
Le temps a passé, me voilà adulte. C’est maintenant que je me rends compte à quel point la vie était belle. Pas de factures à payer, pas de bouches à nourrir,... Maintenant je suis père de quatre enfants, marié et docteur. J’ai toujours la vie belle, mais avec mon travail, je ne vois pas beaucoup mes enfants. Je suis triste pour eux, car ils n’auront jamais l’enfance que moi j’ai eue, je m’en veux de ne pas pouvoir leur offrir ce cadeau. Je suis là, sur le bord du toit de l’immeuble de mon enfance. Je prends une dernière photo, je jette un dernier coup d’œil sur cette vue qui a marqué mon enfance, jamais je ne l’oublierai.
Je quitte cet endroit, ces souvenirs, je vais dans un autre pays. J’ai bien gagné ma vie, maintenant, je pars offrir une nouvelle enfance à ma progéniture...
Anne- Catherine Gerard
Le temps a passé, me voilà adulte. C’est maintenant que je me rends compte à quel point la vie était belle. Pas de factures à payer, pas de bouches à nourrir,... Maintenant je suis père de quatre enfants, marié et docteur. J’ai toujours la vie belle, mais avec mon travail, je ne vois pas beaucoup mes enfants. Je suis triste pour eux, car ils n’auront jamais l’enfance que moi j’ai eue, je m’en veux de ne pas pouvoir leur offrir ce cadeau. Je suis là, sur le bord du toit de l’immeuble de mon enfance. Je prends une dernière photo, je jette un dernier coup d’œil sur cette vue qui a marqué mon enfance, jamais je ne l’oublierai.
Je quitte cet endroit, ces souvenirs, je vais dans un autre pays. J’ai bien gagné ma vie, maintenant, je pars offrir une nouvelle enfance à ma progéniture...
Anne- Catherine Gerard
Laszlo Moholy-Nagy - Composition A.xx - 1924.
Qui aurait pu imaginer que toi tu resterais à jamais sur cette terre lointaine ? Toi qui avais un toit, qui ne manquait de rien !
Te voilà parti dans ce ciel et tu n’en verras jamais la fin.
Mais je sais que tu nous vois depuis ce petit rond à travers ce long chemin ; nous qui sommes en bas, nous ne te voyons pas.
Tu peux rire, nous, nous sommes comme des glaçons, cette chose je la trouve grave, triste et dure.
Toi tu as le ciel bleu nous le ciel gris et ça à jamais…
Je ne t’oublierai jamais,
Je t’aime.
Aude Vranken
Te voilà parti dans ce ciel et tu n’en verras jamais la fin.
Mais je sais que tu nous vois depuis ce petit rond à travers ce long chemin ; nous qui sommes en bas, nous ne te voyons pas.
Tu peux rire, nous, nous sommes comme des glaçons, cette chose je la trouve grave, triste et dure.
Toi tu as le ciel bleu nous le ciel gris et ça à jamais…
Je ne t’oublierai jamais,
Je t’aime.
Aude Vranken
Richard Mortensen – Eure – 1955
Jour -1 (06 mai 2010)
Je prépare mes affaires car demain je m’en vais vers des contrées encore inexplorées à ce jour. Le vol de 6h50 me conduira au Brésil, puis un petit bateau m’amènera vers ce lieu qui sera certainement pleine de surprises.
Durée de l’expédition : inconnue.
Jour 1
J’ai débarqué sur une vaste étendue de dunes et de murs de sable. Déjà plusieurs questions se bousculent dans ma tête, telles que : « Des gens habitent-ils ici ? » « Trouverais-je de nouvelles sortes de plantes, de nouvelles espèces animales ? »
J’ai installé mon campement (ma tente et mon réchaud) à la limite entre cette gigantesque plage et ce grand terrain argileux.
Jour 2
Aujourd’hui, je suis parti repérer mon lieu de vie (je compte y rester quelque temps). J’y ai trouvé des mangues, du manioc et un point d’eau. Je compte me coucher tôt car demain je vais véritablement commencer à explorer.
Le soleil étant particulièrement fort, il vaut mieux que j’explore avant qu’il ne soit au zénith !
Jour 3
Je suis allé pêcher car la nutrition uniquement végétale ne me suffisait plus. La pêche fut bonne ! Mais le plus important est que j’ai découvert que des gens vivent ici et grâce au langage des signes, j’ai pu faire comprendre que j’étais inoffensif. C’est une décision un peu hâtive, mais je vais vivre parmi eux quelque temps pour me rapprocher de la nature.
Audrey Malaise
Je prépare mes affaires car demain je m’en vais vers des contrées encore inexplorées à ce jour. Le vol de 6h50 me conduira au Brésil, puis un petit bateau m’amènera vers ce lieu qui sera certainement pleine de surprises.
Durée de l’expédition : inconnue.
Jour 1
J’ai débarqué sur une vaste étendue de dunes et de murs de sable. Déjà plusieurs questions se bousculent dans ma tête, telles que : « Des gens habitent-ils ici ? » « Trouverais-je de nouvelles sortes de plantes, de nouvelles espèces animales ? »
J’ai installé mon campement (ma tente et mon réchaud) à la limite entre cette gigantesque plage et ce grand terrain argileux.
Jour 2
Aujourd’hui, je suis parti repérer mon lieu de vie (je compte y rester quelque temps). J’y ai trouvé des mangues, du manioc et un point d’eau. Je compte me coucher tôt car demain je vais véritablement commencer à explorer.
Le soleil étant particulièrement fort, il vaut mieux que j’explore avant qu’il ne soit au zénith !
Jour 3
Je suis allé pêcher car la nutrition uniquement végétale ne me suffisait plus. La pêche fut bonne ! Mais le plus important est que j’ai découvert que des gens vivent ici et grâce au langage des signes, j’ai pu faire comprendre que j’étais inoffensif. C’est une décision un peu hâtive, mais je vais vivre parmi eux quelque temps pour me rapprocher de la nature.
Audrey Malaise
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