Qui aurait pu imaginer que toi tu resterais à jamais sur cette terre lointaine ? Toi qui avais un toit, qui ne manquait de rien !
Te voilà parti dans ce ciel et tu n’en verras jamais la fin.
Mais je sais que tu nous vois depuis ce petit rond à travers ce long chemin ; nous qui sommes en bas, nous ne te voyons pas.
Tu peux rire, nous, nous sommes comme des glaçons, cette chose je la trouve grave, triste et dure.
Toi tu as le ciel bleu nous le ciel gris et ça à jamais…
Je ne t’oublierai jamais,
Je t’aime.
Aude Vranken
Te voilà parti dans ce ciel et tu n’en verras jamais la fin.
Mais je sais que tu nous vois depuis ce petit rond à travers ce long chemin ; nous qui sommes en bas, nous ne te voyons pas.
Tu peux rire, nous, nous sommes comme des glaçons, cette chose je la trouve grave, triste et dure.
Toi tu as le ciel bleu nous le ciel gris et ça à jamais…
Je ne t’oublierai jamais,
Je t’aime.
Aude Vranken
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