Puissant, il l’était
Mais vide et sans âme à présent
Quelle mesquinerie ce fut
Ce traitre dont la moustache décrivait son sort futur
Devenu secret
Ne laissant plus rien apparaitre
Intouchable, nous le pensions
Pourtant, ce dur passé le ronge
Autant intérieurement qu’extérieurement
Il veut briser son armure de bois
Une porte lui est entre-ouverte
Mais toujours ce traitre à ses côtés
Comme veillant au bon déploiement de son mal-être
Alors, il reste là, assis
Figé dans son passé.
Eléonore HOC
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